Et si la performance durable ne se décrétait pas, mais s’enracinait dans l’action terrain ?
Une organisation très décentralisée (400 managers de proximité, 3 500 techniciens, 3 millions d’interventions/an) a fait face à un fort enjeu de performance opérationnelle et financière :
- Sous la contrainte d’un marché mature et sous pression : recul des volumes, concurrence accrue, marges contractuelles en baisse.
- Amenant une exigence forte de résultats à court terme : 5 M€ d’économies récurrentes à atteindre en un an, via +15 % de productivité.
Accompagnement mis en place
La démarche s’est articulée en trois étapes pour rythmer la transformation, avec un fil rouge : partir du terrain pour identifier, actionner et pérenniser la performance.
Des diagnostics “boots on the ground” ont permis d’identifier les leviers de productivité concrets, permettant de construire un business case détaillé (gains et coûts des heures libérées réinvesties pour générer un impact EBIT…) et des indicateurs de pilotage.
Des indicateurs hebdomadaires ont été partagés avec les équipes, accompagnés de rituels de pilotage courts et efficaces. L’objectif : créer une dynamique collective, centrée sur des données accessibles et actionnables.
Des coachs internes ont été formés pour ancrer la culture d’excellence. Chaque région a adapté les leviers à sa maturité locale, assurant un ancrage durable et une appropriation réelle de la transformation.
Les résultats obtenus
Et demain ?
Et si la performance ancrée dans la durée pouvait aussi intégrer et mesurer la dimension « sustainable » ? Moins de ressources consommées, plus d’efficacité collective, plus de sens. Une vraie performance systémique au sens de la triple bottom line (People, Planet, Profit) proposée par John Elkington en 1994, qui peine encore à s’incarner en 2025.